
En dépit des promesses du nouveau chef de l’Etat, Félix Tshisekedi, réitérées fin juin à Bunia, l’insécurité dans l’est du pays ne faiblit pas. Dans la nuit du 16 au 17 juillet, dans le village Buhene, situé à la périphérie de Goma, chef-lieu du Nord-Kivu, trois nouvelles personnes ont été tuées par des individus en tenue militaire et équipés d’armes de guerre.
Notre correspondant sur place, Pacheco Kavundama, a recueilli le témoignage à visage découvert – un fait pas si courant dans la région – d’un activiste des droits de l’Homme, Pierre Katemo.
Interview réalisée à Goma, mercredi 17 juillet 2019.
